C’est dans la salle de conférences du campus2 de l’Université Alassane Ouattara(UAO) que le Président Kouakou  Koffi et Maître Flan Gnranka Raymond , Président de l’Union Nationale des Greffiers de Côte d’Ivoire (UNAG-CI), ont signé, le mercredi 30 juin 2021, un partenariat entre ces deux structures.

Le Professeur Kouakou Koffi s’est dit heureux de la signature de cette convention qui cadre avec les exigences du système LMD.

« C’est une rencontre importante à plus d’un titre : elle établit le lien entre l’UAO et le monde professionnel. Avec le LMD, c’est une démarche exigée des universités dans la formation de leurs étudiants. En effet, la signature de cette convention permet aux deux parties  de co-construire un cadre de coopération gagnant-gagnant ».

 « Pour les greffiers, l’UAO offre son savoir-faire en aidant au renforcement des capacités de leurs membres. Pour l’UAO, l’expérience professionnelle des greffiers  constitue un atout majeur pour compléter leur formation et il y a également toutes les facilités que cela offre en termes de stage et d’insertion professionnelle », s’est-il réjoui.

Le premier responsable de l’UAO, a remercié ses collaborateurs pour l’effectivité de cette convention, particulièrement la vice-Présidente chargée des relations extérieures, Professeure  Téhoua N’Dri Pélagie.

 Maître Flan Raymond, Président de l’UNAG-CI  a justifié en quelques phrases le choix de l’UAO parmi les Universités ivoiriennes. « Nous sommes heureux d’être à l’UAO. Il y’a beaucoup d’universités  qui enseignent le droit. Mais notre choix s’est porté particulièrement sur l’Université Alassane Ouattara. Nous sommes des observateurs de la vie de tous les jours.  Donc, nous prenons le temps d’observer et de comprendre ce qui se passe. Le premier critère du choix de l’UAO  a été fait en interne. Nous comptons véritablement sur l’UAO. ».

Le Président Flan Raymond, a souligné l’importance de cette convention pour les greffiers de Côte d’Ivoire.

« Nous sommes greffiers et exerçons dans le métier du Droit de façon régulière. Mais le droit est une science qui évolue très vite. Nous sommes donc obligés de nous mettre à jour. Sur cette base, nous ne pouvons pas en tant que praticiens du Droit être loin des nouvelles connaissances qui sont développées à l’Université. »

 «  Cela nous fera plaisir de recevoir nos jeunes frères dans nos juridictions pour qu’on puisse leur montrer la pratique du droit. Il s’agit de passer de la théorie à la pratique. Il faut transmettre la connaissance pour permettre à la génération d’être mieux formée », a laissé entendre avec joie M. Flan Gnranka Raymond.

Le service de Communication

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