Le mercredi 22 juin 2022, le Présidium du Mouvement pour la Recherche et l’Enseignement Supérieur de Côte d’Ivoire (MORES-CI) a procédé à l’installation de la section de l’Université Alassane Ouattara(UAO) au campus2 de cette institution.
C’est le Docteur SADIA Martin –Armand au Département de Sociologie-Anthropologie qui a bénéficié de la confiance de ses camarades enseignants-Chercheurs et chercheurs ainsi que des membres du Bureau national de cette structure syndicale des enseignants du Supérieur. Il est donc le premier Secrétaire général de la section MORES-CI UAO.
Le nouveau secrétaire général du MORES-CI UAO à peine installé a expliqué que l’esprit est le même avec les autres syndicats du supérieur, tant qu’il s’agit d’œuvrer pour protéger, préserver, promouvoir l’enseignant-chercheur. Il a rassuré les autres syndicats de l’UAO quant à la collaboration syndicale avec sa structure.
« Dans ce contexte, soyez rassurés de notre ouverture et de notre collaboration tant que les actions à mener consisteront à garantir la dignité de l’enseignant-chercheur et à imposer cette dignité partout en Côte d’Ivoire. Soyez rassurés, la section MORES-CI de l’UAO sera présente à vos côtés ».
Au nombre des actions prioritaires à mener, Dr SADIA a révélé que « l’action à mener est d’abord le travail de mobilisation au niveau de nos universités. Faire en sorte que nous puissions avoir le maximum d’adhérents aux valeurs, aux idéaux prônés par le MORES-CI qui est le syndicalisme autrement, le syndicalisme basé sur la négociation, mais la négociation dans la fermeté. C’est un syndicalisme qui ne prône pas la violence. C’est un syndicalisme basé sur le dialogue. Mais orienté vers la restauration de la dignité de l’enseignant-chercheur ».
Dans cette même veine, le Professeur OTEME Apolos, Chef de Département de Psychologie de l’Université Felix Houphouet Boigny d’Abidjan, membre du présidium MORES-CI a appelé les syndicalistes à comprendre que dans la lutte syndicale, c’est la défense et la protection des intérêts matériels et moraux qui doivent les intéresser. L’on doit donc comprendre que la lutte syndicale s’inscrit dans des contraintes.
C’est un bureau MORES-CI UAO de 12 membres qui a été investi.
Le service de la Communication